Chère lectrice, cher lecteur,

Dans sa dernière engueulade allocution télévisuelle à destination des Français, le Président de la République nous a expliqué qu’il n’existait que trois réponses possibles à la crise sanitaire actuelle :

  1. Ne confiner personne pour compter sur l’immunité collective, ce qui nous obligerait à accepter une mortalité effrayante (« 400 000 morts» a-t-il ajouté pour nous terrifier…
    La Suède a pourtant fait ce choix avec moins de morts que la France, mais bon…
  2. Confiner uniquement les plus fragiles puisque la Covid-19 tue surtout les personnes âgées (l’âge moyen de décès est de 84 ans).
  3. Confiner tout le monde, limiter les déplacements et les échanges, exactement comme on le fit lors de l’épidémie de peste à Marseille, en 17201:

 

 

Par exemple, dans ce document de l’époque, on lit qu’un certain Alexandre Coulomb, 28 ans «de taille médiocre et aux cheveux châtains», est autorisé à quitter Remoulins (Gard) pour se rendre à Blauzac (Gard).

Le signataire de ce « sauf-conduit », le juge-consul Fabre, « prie ceux qui sont à prier » de le laisser passer.

Ca ressemble furieusement à notre « attestation de déplacement dérogatoire », non ?…

Bref, vous avez compris : nos autorités ont choisi de faire…comme en 1720, comme si la médecine n’avait pas progressé d’un pouce en trois siècles.

Sauf que…

Vous vous souvenez de cette petite carte de France qu’on trouve dans les premières pages d’Astérix ?

Et bien avec la Covid c’est pareil ; TOUTE la Gaule n’est pas conquise, et certains refusent la mise sous cloche généralisée !!!!

Un groupe de médecins récalcitrants2, animés par un désir sincère de soigner, vient notamment de publier un manifeste pour une 4e voie, https://manifestes-libertes.org/, que je vous encourage vraiment à découvrir et à signer.

Le principe est hyper-simple : face à la Covid-19, nous devons tous être proactifs plutôt que de rester cloîtrés chez nous avec la peur au ventre, en espérant que le virus nous épargne.

Et il faut impérativement remettre la relation entre le patient et le médecin au cœur de la stratégie de soin.

C’est l’approche la plus raisonnable, la plus intelligente, la moins coûteuse pour l’économie autant que pour notre santé mentale et physique. Il faut absolument la faire découvrir au plus grand nombre pour les autorités sanitaires acceptent enfin de considérer autre chose que leur confinement absurde.

Car c’est bien AVANT l’arrivée à l’hôpital qu’il faut soigner !!!! 

Et tout commence avec la prévention évidemment !

 

N’écoutez pas le professeur Croque-mort 

Nous en avons souvent parlé dans cette lettre, mais il faut le redire : face à tout virus, il est essentiel de renforcer ses défenses immunitaires, plutôt que de « fuir devant l’ennemi ». Et on sait pour cela ce qu’il faut faire :

  • Améliorer son hygiène de vie, assainir son alimentation et éviter le sucre à TOUT prix 
  • Pratiquer une activité physique régulière – ce que le confinement rend difficile pour beaucoup…
  • Cultiver l’espoir, la pensée positive, les activités qui ont du sens pour soi plutôt que la peur, qui fait chuter notre système immunitaire (comme le fait tous les soirs le « Professeur Croque-mort » Jérôme Salomon en égrénant devant les écrans la liste des morts de la COVID…)
  • En sélectionnant une supplémentation nutritionnelle individualisée. Vitamine D, Vitamine C, zinc, glutathion, probiotiques et bien d’autres ont montré qu’ils amélioraient les défenses immunitaires et réduisaient le risque des maladies infectieuses, y compris liées au coronavirus.

D’autres approches complémentaires peuvent être envisagées avec votre médecin.

Et c’est là aussi le cri du cœur des signataires : la relation patient-médecin a littéralement été balayée par les autorités dans le cadre de l’épidémie du coronavirus.

Ils nous ont refait le coup des gilets jaunes : tout se décide au ministère, et les « ploucs » de la médecine de ville n’ont qu’à faire ce qu’on leur dit…

 

Les « ploucs » de la médecine de ville

C’est comme ça qu’on a INTERDIT à des médecins généralistes de prescrire la chloroquine, alors qu’ils la donnaient à leurs patients depuis des décennies et en maîtrisaient parfaitement le risque cardiaque. 

Même chose avec les tests de dépistage.

Un diagnostic médical repose autant sur la clinique que sur la biologie. Et les tests auraient pu être prescrits et interprétés par un médecin qui connait « son » patient.

Mais non, on prétend tester tout le monde et n’importe qui. Résultat :

  • On compte d’innombrables faux positifs, ni malades, ni contagieux, à cause de la méthode retenue.
  • Les tests se sont révélés largement inefficaces sur le plan épidémiologique et hyper stressants sur le plan psychologique, contribuant là encore à la baisse de l’immunité.
  • Comme d’habitude, le choix de test « gratuits et sans ordonnance » a engendré un coût pharaonique de 500 millions d’euros, dont une (grande) partie aurait certainement été mieux employée…rien qu’en ouvrant de nouveaux lits de réanimation par exemple…

 

Et le traitement ?

Certes, il n’y a pas actuellement de consensus sur le meilleur traitement contre la COVID-19.

Mais est-ce une raison pour rester les bras ballants, en priant pour un vaccin comme seul espoir ?

Bien sûr que non.

Et nous avons beaucoup appris depuis que ce virus est apparu.

Nous savons qu’il évolue en deux phases, d’abord une phase infectieuse virale comme dans une grippe puis une phase inflammatoire où le virus n’est plus en cause directement.

C’est cette phase inflammatoire qui impose l’hospitalisation en réanimation. Une majorité de personnes fait preuve, heureusement, d’une immunité suffisante pour ne jamais en arriver là.

Et loin des querelles de plateaux télévisés, des milliers de médecins partout en France ont traité les patients qui en avaient besoin dans la première phase de la maladie pour leur éviter ces complications.

Leur verdict : le TRAITEMENT PRÉCOCE, CA MARCHE !

Et là encore, on SAIT ce qu’ils ont utilisé.

  • Le zinc à forte dose (60 mg en moyenne).
  • La vitamine C qui, à forte dose (plusieurs grammes par jour), a une action antivirale, augmente nos défenses et aide à être moins fatigué.
  • La vitamine D si elle n’a pas été déjà prescrite en prévention (on a montré que les personnes qui font des formes graves ont souvent des taux sanguins de vitamine D très bas).
  • L’azithromycine, une molécule antibiotique qui, par sa configuration, a également une action antivirale en même temps qu’elle réduit le risque de surinfections bactériennes. Dans de nombreux cas, elle peut, à elle seule enrayer les symptômes en quelques jours.
  • L’hydroxychloroquine (connue en France sous le nom de Plaquenil) dont l’efficacité sur le virus est bien démontrée. Mais pour qu’elle soit utile, elle doit être absolument utilisée dans la première phase de la maladie.

Et il existe encore d’autres pistes :

D’autres antibiotiques de la classe des macrolides, la doxycycline, (un antibiotique), l’ivermectine (un antiparasitaire comme l’hydroxychloroquine), l’armoise, une plante antiparasitaire très utilisée en Afrique ou en Asie avec des résultats très encourageants, mais aussi l’aromathérapie, la phytothérapie ou l’homéopathie qui peuvent lutter contre les infections ou soulager les symptômes.

Là encore, le médecin et son patient doivent réfléchir en concertation pour prendre les décisions de soin adapatées à chacun.

Au lieu de cela, depuis 2 mois nous accumulons les décisions « liberticides »

Quel effet sur le nombre de malades ? Aucun. Il ne cesse d’augmenter.

Quant aux décès, la France a dépassé les 40 000 morts… 4 fois plus que nos voisins allemands.

Et les autorités s’entêtent à faire comme si nous étions en 1720. Comme si le confinement était la seule solution…dans l’attente d’un vaccin.

C’est faux. Et c’est destructeur. D’autres pistes existent pour guérir. 

Je vous parlais d’Astérix au début de cette lettre…

Alors oui, les Romains ont fini par perdre la Gaule. Mais il a fallu des siècles.

Dans la crise actuelle, nous n’avons pas besoin d’attendre aussi longtemps.

Il suffit de reprendre les rênes de sa santé, d’agir.

Rendez-vous ici si vous êtes vraiment décidé. 

Santé !

Gabriel Combris

 

Sources et références 

1. https://www.lefigaro.fr/actualite-france/en-1720-les-attestations-de-deplacement-existaient-deja-pour-lutter-contre-la-peste-20200423

2. Collectif « Laissons les médecins prescrire », fondé par des médecins venus de toute la France, toutes spécialités confondues.