Chère lectrice, cher lecteur,

Aujourd’hui, soyons enthousiaste ! Car malgré le titre que vous venez de lire, vous allez voir que les bonnes nouvelles existent, il « suffit » parfois d’aller les chercher dans des endroits insolites

Vous savez peut-être que le célèbre professeur Luc. Montagnier, prix Nobel de médecine, aurait ainsi découvert dans les dernières années de sa vie, ce qui pourrait devenir la médecine d’élite du futur.

Mais ce scientifique hors norme a été boycotté par les médias et par la communauté scientifique : trop visionnaire!

Il est vrai que le professeur Montagnier s’est intéressé à un « simple » élément naturel, dont il pensait qu’il pourrait permettre de soigner des maladies graves et répandues comme Alzheimer, Parkinson, la sclérose en plaques, certains cancers et même… le vieillissement prématuré.…

Vous l’avez reconnu : c’est l’eau !

Je vais dans un instant vous expliquer comment la chose est possible.

Mais il faut d’abord que je vous raconte l’incroyable histoire qui a poussé ce scientifique à se pencher sur la question.

Un empoisonnement énigmatique

Asie du sud-est, 1956.

Dans un laboratoire militaire, des scientifiques travaillent à la création d’une arme bactériologique.

Alors qu’ils sortent d’une réunion, tous doivent être conduits aux urgences, souffrant de symptômes qui ressemblent à ceux d’une intoxication alimentaire.

Fait troublant : le rapport médical aboutira à une impasse. Les scientifiques n’ont rien consommé… en dehors de l’eau qui se trouvait sur la table.

L’eau était logiquement empoisonnée, donc ?

Il n’en est rien : pas le moindre élément toxique n’a été détecté, sa composition chimique n’était que…H2O.

Une tentative d’explication audacieuse

Vingt ans plus tard, une hypothèse est avancée dans le but d’expliquer cette mystérieuse intoxication :

L’eau aurait une mémoire

Elle pourrait enregistrer ce qui se passe dans son environnement immédiat.

Plus exactement, ce seraient les ondes émises à proximité de l’eau qui auraient le pouvoir de modifier sa structure, sans toutefois impacter sa composition chimique.

Aussi, l’eau du laboratoire a-t-elle pu être « contaminée » par des ondes émises dans le cadre des travaux bactériologiques des chercheurs.

Tout esprit rationnel se dira que c’est impossible…

Mais le professeur Montagnier, lui, ne s’est pas contenté de cette explication.

Il a voulu reproduire cette hypothèse dans un cadre expérimental.

Il a alors eu l’idée de placer dans de l’eau le « fragment d’ADN d’un virus1. »

Puis, il a dilué cette eau, et ce à plusieurs reprises, de la même façon que l’on procède avec les remèdes homéopathiques.

Après plusieurs dilutions, il ne restait donc plus RIEN de la molécule chimique dans l’eau.

Et c’est d’ailleurs ce qui vaut tant de critiques à l’homéopathie : comment, en l’absence de toute trace de molécule, le remède pourrait-il avoir d’autres actions qu’un effet placebo ?

À moins que… l’eau ait bien une mémoire.

Et justement…

Le Pr. Montagnier est parvenu à montrer qu’il restait bien « quelque chose » dans l’eau.

Après six dilutions, les tubes ont émis un signal électromagnétique qui n’avait jamais été découvert avant.

L’eau aurait gardé le signal de l’ADN du virus « en mémoire » !

Ce signal électromagnétique a ensuite été enregistré sur un ordinateur et envoyé à un autre laboratoire, en Italie.

Là, les scientifiques italiens ont émis le signal reçu du Pr. Montagnier à proximité d’un simple tube d’eau pure, pendant environ une heure.

Ils ont ensuite réalisé un test PCR.

Contre toute attente : ils ont détecté dans l’eau de l’ADN du virus identique à 98 % à celui envoyé par le laboratoire du Professeur Montagnier !

Aucune molécule chimique n’a « voyagé ».

Pourtant, le virus était là !

Une véritable révolution pour la médecine !

Luc Montagnier résume ainsi la découverte centrale de son expérience :

« Ce que nous avons découvert, c’est que les séquences d’ADN peuvent être émises par des ondes électromagnétiques dans l’eau. Cela signifie que l’eau peut garder en mémoire les informations de substances avec lesquelles elle a été en contact, et que cette information peut être transmise à d’autres molécules avec lesquelles elle entre en contact à l’avenir »2

Les conséquences de cette découverte sont capitales.

Cela signifie que les ondes émises par les virus pourraient nous rendre malade.

Or, s’il existe des ondes qui peuvent nous rendre malade, il doit en exister d’autres qui peuvent nous GUERIR !

« Le jour où on admet que les ondes peuvent agir, c’est qu’on peut traiter par les ondes. Guérir par les ondes » concluait le professeur Montagnier.

Certes il faudrait pour cela que les autorités médicales acceptent d’explorer cette voie.

Mais la bonne nouvelle, je vous l’ai dit au début de cette lettre, c’est qu’on n’est pas obligés d’attendre que nos autorités se décident. Chacun de nous peut déjà, aujourd’hui, bénéficier de cette fabuleuse approche.

Il suffit pour cela de sortir des sentiers battus.

Santé !

Gabriel Combris


Sources :

  1. Luc Montagnier, Electromagnertic signals are produced by aqueous nanostructures derived from bacterial DNA sequences, 2009.
  2. Interview de Luc Montagnier par Science et vie, 2010.