Chère lectrice, cher lecteur,

Avec cette crise du covid, il y en a un qui doit se retourner dans sa tombe, c’est le vieil Hippocrate, « père de la médecine moderne » dont il a, avec d’autres, fixé la règle :

« Être utile ou du moins, ne pas nuire »[1].

Car Hippocrate intégrait l’idée que la nature possède en elle-même des forces de guérison.

Le rôle principal du médecin est alors d’aider cette nature à faire son travail, plutôt que de la diriger arbitrairement.

Ce qui implique de savoir aussi s’abstenir, se retirer même, lorsque l’intervention aura toute probabilité d’aggraver le mal.

Aujourd’hui en France, les étudiants en médecine ne prêtent plus le serment d’Hippocrate, contrairement à une idée reçue.

Ils se contentent d’un « serment médical » aseptisé[2].

Mais il n’y a pas si longtemps, leurs prédécesseurs faisaient ce serment d’une immense exigence :

« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l’engagement suivants : »

« Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. »

« Dans quelque maison que j’entre, j’y entrerai pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur ».

« Si je remplis ce serment sans l’enfreindre, qu’il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire ! »

Voilà un merveilleux engagement.

Celle d’un médecin qui n’est pas un « mécanicien » du corps.

Mais un humaniste sincère et dévoué.

Un homme qui se situe à hauteur d’homme.

Mais aujourd’hui, quelle est la place d’un tel médecin dans notre système de santé ?

Ce système où l’hôpital s’est transformé en tableur Excel avec deux colonnes : vitesse et rentabilité.

Ce système où les gestionnaires ont pris le pouvoir, où ils ont supprimé 75 000 lits en 15 ans, où il n’y a plus de médecin ni d’infirmiers la nuit dans les maisons de retraite, où les urgences sont débordées, les déserts médicaux se multiplient, etc.

Comment, dans ces conditions, laisser encore un peu de place à l’ambition du vieil Hippocrate ?

Au risque de vous surprendre, je crois que la partie n’est pas perdue.

Car si notre « système » de santé est bien un paquebot à la dérive, il existe une autre voie.

D’autres thérapeutes, prêts à faire le chemin à deux, médecin ET patient.

Vous voyez cette photo, par exemple :

Pour 99 % des thérapeutes, c’est une simple photo de la mer.

Mais il en existe une poignée d’autres qui savent qu’il y a autre chose sur cette image

Un trésor qui peut littéralement bouleverser la vie des malades. En particulier ceux qui souffrent d’arthrose.

Un remède qui déclenche « l’auto-guérison de l’organisme ! »

Si vous le souhaitez, vous avez rendez-vous ici, demain, pour découvrir ce remède millénaire offert par la mer.

Un cadeau immense à une époque où tout se vend…

Santé !

Gabriel Combris


Sources :

[1] Jacques Jouanna, Hippocrate, Fayard, 1992 (ISBN 2-213-02861-3).

[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Serment_d%27Hippocrate