Chère lectrice, cher lecteur,

Cette crise du coronavirus nous a épuisés.

Elle a épuisé physiquement ceux qui ont subi le virus, bien sûr, mais aussi ses « dommages collatéraux » : soins reportés, opérations chirurgicales décalées, traitements mis en pause, etc.

Et surtout la crise que nous vivons a aussi dessiné une cicatrice morale, liée à la perte de confiance majeure qu’ont entraîné les mensonges répétés de nos autorités.

Un lanceur d’alerte indépendant, le journaliste Xavier Bazin, vient de publier à ce sujet une livre important intitulé « Big Pharma démasqué », où il révèle cette face noire de notre système de santé, apparue en pleine lumière avec la crise du covid.

Ce qui ressort de cette enquête est l’insistance avec laquelle les autorités ont organisé le refus de soin (omerta sur la prévention et les remèdes efficaces, vitamine D, iverméctine, focalisation exclusive sur les vaccins et certains nouveaux médicaments pourtant inutiles – Remdésivir notamment, etc.), et la « mise en cage psychologique des Français ».

Car ce confinement, écrit Bazin, rappelle les expériences effrayantes du pr Henri Laborit1, un scientifique précurseur sur le sujet des neurosciences.

Vous vous rappelez peut-être de ses célèbres expérimentations sur les rats, racontées dans le film Mon oncle d’Amérique. Est-ce si différent de ce que nous avons vécu ? Je vous laisse juger par vous-même…

Dépérir en quelques jours

« On place un rat en cage. Le sol est électrifié. Régulièrement, une sirène annonce un choc électrique imminent. »

« Si le rat a la possibilité d’agir (passer dans la cage d’à côté), tout va bien. »

« Mais s’il est condamné à subir le choc, sans rien pouvoir faire, il finit par dépérir, en quelques jours. »

« Le Pr Laborit a appelé cela « l’inhibition de l’action » : quand on vous place dans un état de psychose où vous ne pouvez rien faire pour vous défendre, votre état de santé se détériore à toute vitesse. »

« C’est exactement ce qu’ont fait les autorités : à part vous demander de laver les mains et de vous tenir à distance, leur seule solution était le confinement, c’est à dire l’inhibition de l’action. »

« Mais comme l’a montré le Pr Laborit, c’est le meilleur moyen de détruire votre système immunitaire, et vous rendre vulnérable aux infections ! »

Voici ce que qu’on aurait dû nous dire, que notre corps est notre meilleure arme contre les risques d’infection, et que c’est le moment d’en prendre le plus grand soin ! 

Il existe une multitude de choses à faire pour réduire le risque de complications, cela commence par prendre de bonnes habitudes, comme de manger moins sucré, faire davantage d’exercice physique, se promener pleine nature, se supplémenter en vitamine D ou faire le plein de zinc.

« Plutôt que de nous tétaniser, il aurait fallu parler de tout ce qu’on peut faire, par nous même, pour favoriser nos propres défenses immunitaires ! »

« Pour les malades confirmés du Covid-19, c’était encore pire. Dès la mi-mars, on savait qu’il existait un traitement prometteur et peu risqué, celui du Pr Raoult, avec 50 ans de recul sur ses effets indésirables éventuels. »

« Mais on a interdit aux médecins de prescrire un traitement ayant une chance de guérir les malades. »

« Les patients étaient condamnés à rester dans l’inhibition de l’action : ils devaient attendre de voir s’ils allaient se retrouver à l’hôpital, en détresse respiratoire. »

Et il y a une autre leçon aux expériences du Pr Laborit. Car il a fait une troisième expérience, en mettant deux rats dans la cage soumise aux électrochocs.

« Au moment où la sirène retentissait, les deux rats se jetaient dessus. Cela ne changeait rien à leur situation, mais au moins, ils agissaient. »

« Résultat ? Au bout de quelques jours, ils étaient toujours en très bonne santé ! »

« Henri Laborit en a conclu que le simple fait d’agir est positif pour la santé. »

« Mais on peut tirer une deuxième conclusion de cette expérience : il est crucial de ne pas vivre un traumatisme tout seul. »

« C’est aussi le fait de vivre cette épreuve à deux – plutôt que seul – qui a maintenu les rats en bonne santé. »

De fait, on sait que la solitude, lorsqu’elle est subie, est catastrophique pour la santé des êtres humains.

« En temps « normal », elle est la cause directe de morts prématurées, de déclin cognitif, de crises cardiaques. »

« Alors vous pouvez imaginer les dégâts de la solitude en cette période anxiogène ! »

« Pensez-à tous ceux qui étaient confinés seuls, chez eux. Pensez à nos aînés en Ehpad, confinés dans leur chambre, seuls toute la journée. »

« Condamnés à écouter la radio ou regarder la télé, avec des informations anxiogènes en permanence :

« Annoncer tous les matins le nombre de morts sans les mettre en perspective (par rapport à la moyenne habituelle des morts, leur âge, la comorbidité dont ils souffraient, etc.), consacrer des journaux entiers à la pandémie ne peut qu’ébranler même les têtes les mieux faites… »

2021 : les rats se rebiffent

Ainsi avons-nous vécu cette période à l’image de ces rats en cage, rendus incapables d’agir, ou si peu…

Et c’est probablement là que se trouve l’explication au profond sentiment de découragement qui affecte aujourd’hui notre société fracturée : angoisse, dépression, consommation record d’anxiolytiques etc.

Le livre « Big Pharma démasqué », de Xavier Bazin montre avec des preuves indiscutables à l’appui, comment l’industrie pharmaceutique a façonné depuis vingt ans une pensée médicale unique aux conséquences dramatiques pour notre santé…et dont la crise du covid est l’aboutissement ultime.

Mais je conseille surtout de le lire parce qu’il ouvre aussi…une autre voie.

Car il est temps de sortir de l’inhibition de l’action. De nous réveiller de notre torpeur. De changer radicalement de philosophie face aux virus, aux bactéries, et pour notre santé en général.

Il n’est plus temps de déléguer notre santé…

  • A l’industrie alimentaire, en faisant une confiance aveugle à ce qu’elle met dans notre assiette.
  • A l’industrie du médicament, en faisant confiance à ses pilules chimiques pour régler nos problèmes de ventre, de maux de tête, de douleurs, de sommeil ou de « coup de mou ».
  • Aux autorités de santé, en suivant sans broncher leurs instructions : mangerbouger, 5 fruits et légumes, vaccination obligatoire etc.

Il est temps pour « les rats » de retrouver leur capacité d’agir.

Et c’est le mérite le plus important du livre « Big Pharma démasqué », qui nous montre qu’une autre façon de se soigner est possible.

Car il faut le rappeler, ce ne sont pas les virus et les bactéries en eux-mêmes qui nous rendent malades.

Ce sont les déséquilibres dans notre corps et notre environnement qui permettent aux microbes de devenir « pathogènes ».

C’est ce qu’avait reconnu Louis Pasteur, en disant sur son lit de mort : « le microbe n’est rien, le terrain est tout ».

Alors ce terrain, à chacun de nous de le reconquérir, de le fortifier avec l’aide de la plus puissante alliée que nous avons : la Nature.

Aujourd’hui nous pouvons contourner le mensonge, ignorer les menaces. Nous pouvons nous regrouper, faire corps, militer efficacement pour une médecine plus naturelle et plus respectueuse de l’Homme.

Et alors, tout (re)devient possible !

Santé !

Gabriel Combris

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Sources : 

1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Laborit