Chère lectrice, cher lecteur,

Ça fait plaisir !!!!

J’ai entre les mains un rapport rédigé par équipe de chercheurs de l’Université de Nottingham, où la docteur Cornelia de Moor et son équipe viennent de faire un pas de géant contre l’arthrose.

Et le plus fou est que cette découverte extrêmement prometteuse a été faite… involontairement :

« À l’origine, je ne cherchais pas du tout des remèdes pour guérir l’arthrose, j’étais en pleine étude…génétique !» explique le dr de Moor.

Et pourtant, elle a réussi à identifier et isoler une molécule, la « microRNA-181a-5p » (ouf !), impliquée dans le déclenchement de l’inflammation et la destruction du cartilage, ainsi que l’épuisement du collagène.

Cette molécule est sécrétée par l’organisme lorsque le cartilage est agressé.

Le Dr. de Moor a donc cherché à mettre au point un « bloqueur », capable de se fixer sur cette molécule pour la neutraliser, et ainsi stopper le processus inflammatoire.

Pendant plusieurs mois, la scientifique a testé de nombreuses substances naturelles1, et notamment une substance appelée cordycépine, extraite d’un champignon bien connu en médecine traditionnelle, le cordyceps.

Et là, BINGO !

En seulement 4 semaines, cette molécule a stoppé net la progression de l’arthrose.

Et ce n’est pas tout !

Le remède utile quand TOUS les autres traitements ont échoué

Ce puissant effet anti-arthrose s’opère par un mécanisme totalement différent de tous les anti-inflammatoires qu’on trouve sur le marché.

La cordycépine est capable de prévenir l’inflammation liée à l’arthrose en agissant sur la dernière étape de la fabrication d’un ARN messager, la polyadénylation.

Ce sont des termes scientifiques un peu compliqués, pardonnez-moi.

Mais ils ont toute leur importance pour une bonne raison.

Cela signifie que la cordycépine pourrait aider les patients pour lesquels TOUS les autres traitements ont échoué !!

Au lieu de mettre l’inflammation en mode « pause », comme le font les anti-inflammatoires, la cordycépine placerait un mur INFRANCHISSABLE entre vos articulations et l’inflammation qui cause l’arthrose.

Mieux encore, la substance agirait directement à la racine du mal en protégeant vos articulations en profondeur.

C’est une découverte PRODIGIEUSE.

L’histoire HALLUCINANTE d’un remède…SUR-NATUREL !

Vous l’aurez compris, je ne vous parle pas d’une énième pilule, d’une nouvelle injection ou d’une crème bourrée de perturbateurs endocriniens…

… Mais bien d’un simple extrait de champignon : le Cordyceps militaris.

Voici à quoi il ressemble une fois séché :

Cordyceps militaris

Le docteur de Moor et son équipe n’ont pas étudié cet étrange champignon par hasard.

C’est l’un des remèdes les plus fantastiques de la médecine traditionnelle chinoise.

Il a été découvert il y a près de mille ans, lorsque des bergers des hauts plateaux tibétains remarquèrent que leur troupeau présentaient une vivacité étonnante, y compris les bêtes les plus âgées.

Intrigués, ils se sont intéressés aux herbes qu’elles broutaient et ont découvert un champignon particulièrement étrange…

Il prend naissance dans l’organisme des chenilles, des sauterelles ou des fourmis de haute montagne, à plus de 3500 mètres.

Sa partie aérienne se développe après avoir tué l’insecte et pousse comme une sorte de prolongement de son corps !

Cordyceps militaris 2

À cette altitude, le faible niveau d’oxygène de ce climat extrême constitue un environnement très inhospitalier dans lequel les espèces qui parviennent à pousser développent de fortes capacités de survie.

Les bons herboristes le savent : plus rude est l’environnement, meilleure est la qualité de la plante.

Et c’est pourquoi le cordyceps est devenu un remède de choix de la pharmacopée chinoise pour :

  • Soutenir les convalescents,
  • Stimuler le système immunitaire et la fonction sexuelle,
  • Renforcer les fonctions des reins, du foie et des poumons…

MAIS AUSSI régénérer les articulations.

En prenant 5 à 10 grammes d’extrait sec de cordyceps cultivé (comme le Paecilomyces hepiali par exemple) il pourrait suffire de huit semaines seulement pour être à nouveau libre de vos mouvements.

Et le tout sans AUCUN effet secondaire négatif !

Si vous avez de l’arthrose, ça vaut le coup d’essayer, et surtout de partager vos résultats avec la communauté de lecteurs de Directe Santé.

C’est d’ailleurs ce que nous avons fait en publiant une enquête spéciale sur l’arthrose, car si la cordycépine est une piste NATURELLE très prometteuse, il faut savoir que parmi les recherches les plus récentes, il y en a beaucoup d’autres :

  • En 2013, des chercheurs britanniques ont mis en évidence dans la revue Arthritis & Rheumatism qu’une substance concentrée dans un légume avait une action anti-inflammatoire qui permettait de freiner l’érosion du cartilage2;
  • Une huile essentielle bien particulière est tellement concentrée en salicylate de méthyle (90 à 99%) qu’une simple cuillère à café de cette substance (5ml) est équivalente à plus de 14 doses adultes !3
  • Et que dire de la lysine dont une équipe de chercheurs de l’Université du Maryland a réussi à prouver que 12mg par kilo de poids corporel et par jour pouvait favoriser la croissance d’un tissu endommagé ?4

L’efficacité de ces substances naturelles est prouvée par des études scientifiques fiables.

Et de très nombreux malades témoignent qu’ils ont réellement changé leur vie.

Parmi ces témoignages, il y en a FORCEMENT UN qui va vous redonner espoir et vous ouvrir des perspectives entièrement nouvelles !!

Et encore une fois, un grand merci de partager avec les lecteurs de la lettre Directe Santé vos retours d’expérience sur les traitements naturels qui ont marché (ou pas) dans votre cas contre l’arthrose.

Santé !

Gabriel Combris


Sources :

[1] Sadaf Ashraf, Masar Radhi, Peter Gowler, James J. Burston, Raj D. Gandhi, Graeme J. Thorn, Anna M. Piccinini, David A. Walsh, Victoria Chapman & Cornelia H. de Moor, “The polyadenylation inhibitor cordycepin reduces pain, inflammation and joint pathology in rodent models of osteoarthritis”, Scientific Reports volume 9, mars 2019, doi: 4696 (2019)

[2]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23983046

[3]https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S051537001300133X

[4]https://academic.oup.com/ajcn/article/92/4/928/4597591