Chère lectrice, cher lecteur,

Lorsque vous faites votre déclaration d’impôt, vous indiquez le montant de vos revenus dans la case prévue, vous signez le papier et vous l’envoyez au fisc sans vous attendre au moindre cadeau.

Et puis vous passez à autre chose.

Mais pour une petite catégorie très précise de Français, ça ne marche pas du tout comme ça !!!

Les journalistes…

Pourtant eux aussi inscrivent le montant de leurs revenus dans la même case que les Français « normaux »…

…mais ils prennent soin de SOUS DECLARER LA SOMME

Oui, vous avez bien lu : les journalistes ne déclarent pas leurs véritables revenus !!!!

Et le pire, c’est qu’ils ne font rien d’illégal : tout ceci est convenu d’avance avec les impôts !

Les journalistes ont le droit, le privilège, de retrancher chaque année 7 622 euros du montant de leur déclaration (soit l’équivalent de 50 000 francs) !!!!

Plus de la moitié d’un SMIC !!

C’est un droit qui leur est entièrement réservé.

Et chaque année, ce privilège coûte une fortune aux Français :

D’après la commission de la carte de Presse, qui recense le nombre de journalistes professionnels, ils étaient 34 476 en 20211. Cela représente donc au total près de 260 millions d’euros de cadeau fiscal attribué aux journalistes pour la seule année 2021 !

Sur le dernier quinquennat, c’est plus d’un milliard d’euros de cadeau offert aux journalistes !!!

Plus d’un milliard d’euros perdus, dans un pays où 9 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, où il y a eu 50 % de SDF en plus en dix ans2, où un Français sur quatre ne parvient plus à se chauffer !

Un milliard dans un pays où l’hôpital est en ruine, où les urgences débordent, où les services publics se délitent chaque année un peu plus.

Est-ce vraiment justifié ?

Et surtout, il faut s’interroger sur la raison de ce privilège :

Pourquoi leur fait-on ce cadeau ?

Et pourquoi des journalistes, qui passent leur temps à nous rappeler leur soi-disant « indépendance », acceptent-ils ces millions de la part de l’Etat ?

Que leur demande-t-on en échange ?

Évidemment il n’existe pas de réponse officielle à ces questions. Mais il y a des faits, incontestables :

D’abord, l’immense majorité des médias appartient à des groupes industriels puissants, dirigés par des milliardaires de la finance, de l’industrie ou de l’énergie :

  • Groupe LVMH : propriétaire des Echos, Le Parisien, Aujourd’hui en France, Le Journal des Finances, Radio Classique, etc. Appartient à Bernard Arnault, PDG de LVMH, assis sur une fortune estimée à 150 milliards d’euros !!!
  • Groupe Dassault : propriétaire du Figaro, TV Magazine, Le Particulier, Le Journal des Femmes, etc. Appartient à la famille Dassault, assis sur une fortune estimée à 20 milliards d’euros .
  • Groupe Bouygues (Famille Bouygues): propriétaire de TF1, LCI, TV Breizh, Histoire, Ushuaïa, Série Club etc. Fortune estimée : 3 milliards d’euros.
  • Groupe Bolloré (Famille Bolloré – fortune estimée : 7 milliards d’euros): propriétaire de Canal Plus, CNews, Direct Matin, Paris Match, Prisma Media, Europe 1.
  • Groupe CMI Medias : propriétaire de Elle, Télé 7 jours, Doctissimo, Marianne, France Dimanche, Ici Paris Appartient au milliardaire thèque Daniel Kretínsky, magnat de l’énergie qui pèse au moins 5 milliards d’euros.
  • Groupe Altice (Famille Drahi) : propriétaire de BFM TV, RMC, Libération Fortune estimée : 15 milliards d’euros ;

C’est la stricte réalité : en France, en 2022, la quasi-totalité de l’information, écrite, radio, ou télévisée, est produite par des sociétés appartenant à des milliardaires.

Les journalistes sont leurs employés.

Et dans ces conditions, il est raisonnable de penser qu’ils disent ce qu’on leur demande de dire.

C’est d’ailleurs ce que reconnaît le milliardaire Xavier Niel, propriétaire de Free et actionnaire du Monde, du Nouvel Observateur, de Nice Matin, etc

« Quand les journalistes m’emmerdent, je prends une participation dans leur canard et ils me foutent la paix ».3

Les milliardaires achètent les journaux, pour que les journaux leur « foutent la paix ».

En d’autres termes : qu’ils ne viennent surtout pas faire d’enquête gênante pour leurs affaires.

Regardez ce qui s’est passé pendant toute la crise du Covid.

Les remèdes naturels, qui ne rapportent RIEN aux grands industriels de la santé, ont tout simplement été rayés des informations :

Pas un mot sur l’importance des vitamines D ou C, du zinc, de la quercétine.

Au contraire, les médias ont tout fait pour imposer les traitements hors de prix promus par les labos :

  • Le remdésivir de Gilead à 2 000 euros – très vite reconnu comme inefficace et toxique ;
  • Le bamlanivimab du laboratoire Eli Lilly à 1 000 euros – très vite abandonné ;
  • Le molnupiravir de Merck, 700 euros, reconnu comme inefficace et toxique lui aussi !

Et c’est sans parler de la vaccination, dont les journalistes ont fait la promotion sans la moindre retenue élémentaire. Accusant chaque personne qui osait seulement s’interroger sur les effets secondaires – parfaitement reconnus – d’être un « complotiste », un « conspirationniste », etc.

Regardez la façon dont ont été humiliés par les médias des sommités scientifiques comme le Pr. Montagnier, le Pr. Raoult ou encore du le Perronne.

Regardez comment la plupart des médias ont applaudi des deux mains la mise au ban des soignants non vaccinés. Comme s’il était indispensable que chacun ajoute son petit clou à leur croix.

Bref. Tout le monde l’a compris : la mainmise des industriels et des milliardaires sur l’information est quasi TOTALE.

Ils ont leur objectif : gagner plus d’argent.

Et un outil à leur disposition : les médias.

Alors il faut avoir conscience que produire une information juste, sincère, utile, n’est pour eux, au mieux, qu’une possibilité parmi d’autres.

Maintenant, que faire ? Se résoudre à cet état de fait ? Non.

Parce qu’il existe aussi des médias libres.

« Libres » ne veut pas dire qu’ils ont toujours raison. Mais qu’ils sont indépendants, sans publicité ni conflits d’intérêts.

Que leurs rédacteurs ne sont pas « aux ordres » des industriels, mais au service du lecteur.

Vous connaissez certainement par exemple le travail du docteur Vincent Reliquet qui publie tous les mois sa revue « Du Neuf pour ma santé ».

Un « ovni » où il débusque avec humour les ravages de la désinformation, et où il donne des solutions remarquables souvent oubliées, contre les maladies chroniques.

Mais il existe de très nombreux autres francs-tireurs de l’information santé : je pense au journaliste Yves Rasir, de la lettre Néo Santé, au docteur Jean-Pierre Willem, au rédacteur scientifique Xavier Bazin, vraiment en pointe sur la question de la vaccination, je pense aussi au rédacteur Rodolphe Bacquet qui s’est illustré lui aussi pendant la crise du Covid, je pense bien sûr au docteur Eric Ménat, à notre ami le docteur Jean-Charles Gimbert, qui a révélé l’affaire du Lévothyrox quatre ans avant tout le monde.

Il y en aurait beaucoup, beaucoup d’autres à citer, j’espère qu’ils m’excuseront de ne pas le faire par manque de place.

Tous ont leur expertise, leurs qualités, leurs défauts aussi, leurs manières, leurs lubies, mais ils contribuent chacun à une recherche sincère de la vérité.

Dans le torrent de désinformation que nous subissons, et qui menace notre santé, c’est ENORME.

Car la liberté, y compris thérapeutique, ne se donne pas. Elle se prend !

Gabriel Combris


Sources :