Chère lectrice, cher lecteur,
Mais pour qui se prend Gabriel Combris ?

Je me dis parfois que vous vous demandez peut-être pour qui je me prends.

Je ne suis pas médecin, pas non plus un scientifique reconnu, juste un rédacteur un peu caustique, et je me permets de vous envoyer des lettres avec des informations de santé dont je pense qu’elles vont vous intéresser, voire, vous aider.

Mais que vaut mon travail ?

Pourquoi est-ce que je continue à vous écrire ? Et surtout, pourquoi vous, continueriez-vous à me lire ?

J’avoue que j’ai un peu peur de votre réaction en posant ces questions aussi franchement, mais il me semble qu’elles méritent une réponse.

D’abord, évidemment, je veux vous dire que depuis 20 ans que je suis journaliste, je fais mes recherches avec le plus grand sérieux, et au fil des années, j’ai pu constituer un réseau exceptionnel de thérapeutes d’excellence.

Ce sont eux qui m’informent, eux auprès de qui je valide mes informations, eux aussi que vous retrouvez dans les colonnes de nos revues ou lors des conférences que nous organisons régulièrement.

Cette source est l’une des meilleures que l’on peut trouver dans la santé naturelle.

Je ne le dis pas pour me vanter, je le dis parce que c’est vrai.

Ce n’est pas la seule bien sûr, mais le sérieux, le courage, la motivation des thérapeutes qui nous livrent leurs solutions de santé est un motif de fierté pour moi, et c’est un plaisir immense de partager ces informations importantes dans la lettre gratuite Directe Santé.

Et puis il y a aussi autre chose. Un sentiment un peu plus complexe dont vous me parlez parfois.

Pour perdre du poids, pour faire baisser votre tension, pour réduire vos douleurs articulaires ou votre mal au dos, vous ressentez peut-être une certaine lassitude devant la difficulté des « mesures » à appliquer.

Arrêter le gluten, les laitages, éviter les glucides, les plats industriels, manger des fruits et légumes de saison, prendre des compléments de vitamine D, de zinc, de sélénium, faire de l’exercice physique régulièrement, développer des approches non médicamenteuses pour « gérer » son stress, etc.

Ça fait beaucoup.

Et pour l’instant, cela ne marche pas encore. Ou pas assez. Ou pas comme vous le voudriez. Ou tout simplement, vous n’arrivez pas encore à franchir le pas.

Vous n’avez pas encore fait votre « re-naissance » de santé.

Et c’est là qu’une lettre comme Directe Santé peut vraiment vous aider.

La petite étincelle qui allume…le grand feu de joie

Car l’important, ce n’est pas de mettre en œuvre tout de suite, tout ce que vous lisez sur les méthodes naturelles de soin.

L’important est que ces conseils tournent dans votre esprit.

Qu’ils irriguent vos réflexions, alimentent vos questionnements, nourrissent les associations d’idées que vous pouvez faire entre un mal et une cause, entre un problème de santé, ce qui en est, selon vous, à l’origine.

Parce qu’alors, sans que vous puissiez nécessairement maîtriser quand, ce foisonnement deviendra…une évidence, une nécessité.

Et alors vous ne perdrez plus un instant pour mettre en œuvre un mode de vie mieux adapté. Pour essayer les remèdes auxquels vous ne « croyiez pas » jusqu’alors.

Il suffit parfois d’une étincelle, et si la lettre Directe Santé peut être cette étincelle, alors bingo !

Je voudrais juste vous donner l’exemple de deux femmes qui ont vécu cette transformation, le jour où elles ont compris intimement le message que leur adressait leur corps à travers la maladie.

La première s’appelle Jeanne, elle a été diagnostiquée avec la maladie de Crohn (maladie auto-immune de l’intestin) alors qu’elle n’avait que 18 ans.

A cette époque, elle est totalement « réfractaire aux approches alternatives » ; Lorsqu’une naturopathe l’interroge sur son alimentation, sur la quantité d’eau qu’elle boit, et sur un possible état inflammatoire, elle la regarde comme si elle était folle…

Et pourtant.

Avec le temps, la maladie étend son empreinte, avec ses symptômes de plus en plus violents sur lesquels se greffent les effets secondaires de la cortisone, utilisée comme traitement : gonflement du visage, apparition d’un duvet sur le corps, prise de poids et état d’excitation permanent…

Puis vient le moment où la cortisone ne soulage plus. Jeanne doit suivre un nouveau traitement à base de médicament immunodépresseur. Seul résultat : des nausées terribles. Le gastro-entérologue envisage alors de lui faire prendre des anti-TNF, des anticorps issus de la biothérapie, sous forme d’injections à faire là l’hôpital.

Un traitement qui peut durer des mois, voire des années, avant de faire effet. Et avec une contre-indication : l’interdiction de s’exposer au soleil.

Pour cette jeune fille qui ne peut pas vivre sans être dehors, c’est le déclic.

« Sans comprendre d’où ça venait, j’ai dit « non » à tout ! ».

Et le soir même, pour la première fois de sa vie, Jeanne attrape une crème caramel dans son frigo et se met à lire l’étiquette. Elle se rend compte qu’elle ne connaît pas 80 % des ingrédients qu’elle avale !

Ce jour-là, en empoignant un pot de crème industrielle, Jeanne a démarré sans le savoir une incroyable reconquête de son corps.

A cet instant le plan de bataille est déjà écrit en elle, elle n’a « plus qu’à » le mettre en œuvre :

Elle supprime le gluten, les produits laitiers, les plats préparés, réduit sa consommation de viande et tous les produits irritants : café, alcool, sucre, colorants, agents de conservation…

Les résultats sont stupéfiants : au bout de trois mois seulement, plus de nausée, de vomissements, plus de sang dans les selles, c’est la fin de la fatigue et des problèmes de peau.

Six ans après son diagnostic, les ulcérations de sa paroi intestinale ont aujourd’hui complètement disparu et elle n’a aucune rechute.

« Je suis Guérie ! »

Et si elle est guérie, comme elle ose le dire, ce n’est pas seulement parce que les symptômes sont partis, c’est plus profondément parce qu’elle a répondu au message de son corps.

Et ce qui paraît absolument sûr, c’est que ce dialogue intérieur n’a pu fonctionner que lorsque c’est elle qui s’est sentie prête.

Refuser la fatalité

Dans le cas de Laura Azenard, la guérison de son arthrose, n’était aux yeux du corps médical, tout simplement « pas envisageable »[1].

Elle n’a que 40 ans, mais du jour au lendemain, voilà cette femme dynamique reléguée « derrière », dans un corps qui souffre, qui ne peut plus monter les escaliers ni porter des talons, et elle est priée d’accepter ce nouvel état de fait.

Que s’est-il passé ? Pourquoi en est-elle arrivée là ? Les soignants, kinés, rhumatologues n’apportent pas de réponse. « Le monde médical, explique-t-elle, se désintéresse de l’arthrose. Ce n’est pas une maladie mortelle, elle est juste vécue comme une fatalité. »

Une fatalité ?! Laura la refuse.

Et c’est comme ça qu’elle se met elle-même à chercher les réponses, à lire, à enquêter sur son propre…corps.

Laura réalise qu’elle a une vie très acidifiante, avec trop de stress et une alimentation déséquilibrée qui entretient une inflammation importante.

Aussitôt elle passe à l’action, supprime les sodas, le gluten, les produits laitiers, réduit la viande rouge (forte teneur en oméga 6) elle ré-équilibre ses apports en acide gras en ajoutant des oméga-3 anti-inflammatoires : huile de colza, huile de lin et de noix, petits poissons gras.

Elle veille à ce que les légumes occupent « la moitié de son assiette », avec beaucoup de crucifères, elle change de mode de cuisson (vapeur, marinades), consomme beaucoup d’épices (curcuma, gingembre), pratique régulièrement le jeûne.

On lui avait dit qu’il fallait « vivre dans du coton » pour enrayer la dégradation du cartilage. Laura fait l’inverse, en maintenant une activité physique régulière.

Cinq ans après son diagnostic d’arthrose sévère, elle descend les escaliers, danse, nage et court. Elle ne prend aucun médicament. Sa conclusion :

« Tout est faisable, et je trouve révoltant d’annoncer à quelqu’un qu’il n’a pas d’autre choix que de rester cloîtré et sous médicaments le reste de sa vie ! »

Guérie elle aussi, grâce à son opiniâtreté et à l’écoute de son corps profond.

Deux cas. Deux femmes déterminées.

Mais une vérité qui s’applique à chacun de nous : il est illusoire de compter sur une pilule miracle – et même un remède naturel – pour répondre au vrai message que nous adresse notre corps.

Ce message, c’est à chacun de nous de l’interpréter, de le comprendre. Et lorsque le moment est le bon, d’agir pour y répondre.

« Tout est faisable » nous dit Laura Azenard.

Pour cela il suffit d’une étincelle…Et que vous la trouviez dans cette lettre ou ailleurs, qu’importe.

L’important, c’est qu’elle embrase un beau feu de joie !

Gabriel Combris.

PS : Depuis longtemps, j’avais envie de vous proposer un projet différent au service de votre santé. Et la crise du covid n’a fait que renforcer cette idée. Car depuis deux ans, on a vu se succéder les médecins de plateaux TV, les grands pontes à conflit d’intérêt, les mandarins qui ont oublié qu’au bout de l’ordonnance, il y a un patient. Mais le vrai médecin ? Le thérapeute qui « prend soin » ? C’est LUI que je vous propose de retrouver pour un voyage…hors norme. Alors surveillez bien votre messagerie…

Source :

[1] https://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/les-maladies/l-arthrose/laura-azenard-lvoici-comment-jai-vaincu-larthroser