Chers lecteurs,
La commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale a voté, vendredi 2 mai au soir, une proposition de loi « relative au droit à mourir »…
Plutôt que de parler d’euthanasie ou de suicide assisté, ce qui est un peu gênant, les députés préfèrent en effet utiliser des mots qui font moins peur.
D’où ce « droit à mourir » au nom particulièrement ridicule, tant la mort est moins un « droit » qu’une certitude totale, absolue, concernant le vivant dans son intégralité, sans distinction de quoi que ce soit.
Mais il faut dire que depuis le début des discussions sur l’euthanasie, nous sommes entrés dans un monde où les mots ont perdu leur sens.
Je vous avais déjà signalé les propos ahurissants du rapporteur général de cette commission de loi, le député Falorni, qui disait il y a un an :
Tuer quelqu’un, c’est donc l’aider à vivre !?
Mais si « mourir » c’est « vivre », alors « la vérité » c’est le « mensonge » ! Alors « la guerre, c’est la paix », ou « la liberté, c’est l’esclavage », comme l’avait prophétisé l’écrivain Georges Orwell.
Si mourir c’est vivre, alors tout est n’importe quoi. Tout s’effondre. Le ciel devient la mer. La gentillesse est un crime. L’amour est plus grave que le meurtre.
Et on ne s’étonnera pas dans ces conditions de voir avec quelle absence de mesure, d’humanité, de contrepoids, les députés ont adopté leur proposition de loi.
Sur un sujet qui pose des questions aussi difficiles, strictement rien n’est fait pour prévenir la catastrophe. Au contraire.
Celui qui aime la vie est-il coupable ?
D’abord avec le délit d’entrave, qui est introduit dans ce projet de loi.
Si la loi était votée telle quelle, il serait donc interdit et puni (un an de prison et quinze mille euros d’amende) d’essayer de convaincre un proche, un parent, un enfant, de renoncer à son « droit à mourir »…

Pourtant le rôle de la psychiatrie, est bien de tenter d’empêcher le passage à l’acte suicidaire, non ?
Pourtant des associations comme SOS Suicide réussissent bien, par l’écoute et la parole, à sauver des vies ?
Ils ne savent pas, nos députés, à quel point la discussion, l’écoute, peuvent tout changer, y compris dans les cas en apparence les plus désespérés ????
Il faudrait leur afficher les résultats de la grande étude de l’Université de Liège, en Belgique, réalisée auprès de patients « emprisonnés dans leur corps », conscients mais totalement paralysés, et ne pouvant communiquer qu’en bougeant les yeux1.
Les chercheurs leur ont demandé s’ils se sentaient « heureux ».
Réponse : 72 % ont dit OUI !
« Mais comment est-ce possible ? » Réponse de Steven Laureys, le neurologue qui a conduit l’étude :
« Cela peut paraître surprenant pour nous, de l’extérieur, mais certains patients font preuve d’une énorme capacité d’adaptation à leur nouvelle situation. »
« Beaucoup évaluent leur qualité de vie à un meilleur niveau que je n’aurais jugé la mienne !!! ».
C’est peu de dire que ce n’est pas exactement le genre de résultat auquel on s’attendrait, et qu’il n’est tout à fait inutile d’échanger avec ces malades pour avoir leur ressenti réel, et pas l’impression qu’on pourrait avoir nous, du haut de notre certitude de « bien portants ».
L’environnement familial, notamment, stimule énormément la conscience de ces personnes et leur procure une source de grande énergie : qu’ils soient à la maison ou à l’hôpital, tous ceux qui se sont réveillés avaient une présence très forte de leurs proches à leurs côtés.
Il faut savoir aussi que ceux qui s’estimaient le plus malheureux étaient aussi ceux dont l’accident était le plus récent.
Et il est en effet fréquent pour les accidentés lourdement handicapés de ressentir une dépression profonde… puis, progressivement, de s’adapter à leur nouvel état, voire de l’accepter et de le…dépasser !
Personne n’a envie de souffrir
Aux Etats-Unis, dans les états qui ont légalisé le suicide assisté, le pourcentage des malades qui, à la fin de l’année, n’ont pas pris le poison mis à leur disposition – prescrit la même année ou auparavant – est loin d’être négligeable : jusqu’à 50 %.
Comme l’écrit Michel Houellebecq, dans une tribune opposée à l’euthanasie2, « personne n’a envie de mourir. On préfère en général une vie amoindrie à pas de vie du tout ; parce qu’il reste de petites joies ».
Mais l’écrivain ajoute aussitôt que « personne n’a envie de souffrir ».
Et c’est le deuxième énorme problème du projet de loi. Car il ne faudrait pas que certaines personnes aient recours à l’aide à mourir, par défaut de soins. Or rien n’est prévu à ce sujet.
Il faut pourtant regarder la réalité des services de soin palliatifs pour se rendre compte que là non plus, rien ne se passe comme on l’imagine quand on « va bien ».
« Le plus semblable aux morts meurt le plus à regret », écrivait la Fontaine.
Et c’est ce que constatent les soignants, qui côtoient les mourants dans les unités de soin palliatifs.
« Sur les 800 patients pris en charge par notre équipe chaque année, explique ainsi le docteur Alexis Burnod, chef des soins palliatifs de l’Institut Curie l’immense majorité souhaite qu’on les aide à avoir une vie plus supportable. »
On parle bien de vivre !
L’institut Curie accueille pourtant des patients gravement malades, ou en fin de vie du cancer3
« Certes, quelques-uns nous disent qu’ils veulent mourir, mais leurs demandes s’estompent le plus souvent grâce au soutien apporté par la prise en charge palliative. »
« Cela nous incite à vouloir intervenir de manière plus précoce. Car c’est plus facile de prévenir les souffrances que de les soulager ! »
Et lorsqu’on lui demande s’il n’est pas régulièrement confronté à des patients qui réclament l’euthanasie, sa réponse est surprenante.
« Cela arrive très rarement. Là aussi, c’est l’occasion d’une discussion en vérité où l’on cherche les causes de cette demande ».
« Il y a un mois, un monsieur de 65 ans souffrant de gêne respiratoire, de douleurs et ne pouvant plus faire ses courses tout seul, a évoqué ce scénario. On a passé du temps en consultation à détailler les douleurs, les insomnies, sa logistique au quotidien. »
Détailler les douleurs…voilà une approche formidable, qui peut aussi servir en dehors des soins palliatifs.
Étonnant fromage
Regardez par exemple ce « camembert de la douleur », d’une femme souffrant de douleurs chroniques « insupportables ». Les causes de sa souffrance, physique et morale, y sont représentées en différentes portions.

Ce genre d’outil lui a été utile pour prendre conscience que la sensation de douleur n’est qu’une portion de ce qui engendre sa souffrance globale.
Il ne veut plus mourir
Elle a pu alors se fixer des objectifs plus réalistes que « zéro douleur », et vouloir recommencer à vivre avec les douleurs, en travaillant notamment sur d’autres aspects de sa souffrance (la tristesse, la fatigue, le lien social, etc.).
Avec son patient de 65 ans qui voulait mourir, l’équipe de l’institut Curie a également bâti ensemble un projet de soin, et aujourd’hui il ne fait plus de demande d’euthanasie !!!
Pour le docteur Burnod, c’est d’ailleurs moins la douleur que « le sentiment de ne pas se sentir soutenu et accompagné par l’entourage et les soignants qui alimente en majorité la peur de la fin de vie. »
Ajoutons ces mots de Michel Houellebecq, là-encore, citant le livre des morts tibétains, le Bardo Thodol :« L’agonie est un moment particulièrement important de la vie d’un homme, car elle lui offre une dernière chance, même dans le cas d’un karma défavorable, de se libérer du samsara, du cycle des incarnations. Toute interruption anticipée de l’agonie est donc un acte franchement criminel ; malheureusement, les bouddhistes interviennent peu dans le débat public ».
Voilà, je crois, les vrais sujets de la fin de vie.
Voilà ce qu’évite soigneusement le projet de loi délirant des députés, qui en plus de n’offrir aucun espoir aux malades en fin de vie, ne propose pas non plus de clause de conscience renforcée aux soignants.
Alors demain, seront-ils obligés de tuer ?
L’honneur d’une civilisation
Ne me dites pas que la question est excessive.
Elle est en ligne de mire. Et Houellebecq de conclure :
« Il est indéniable que certains médecins résistent, se refusent obstinément à donner la mort à leurs patients, et qu’ils resteront peut-être l’ultime barrière. Je ne sais pas d’où ça leur vient, ce courage, c’est peut-être juste le respect du serment d’Hippocrate : « Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion».
« C’est possible ; ça a dû être un moment important, dans leurs vies, la prononciation publique de ce serment. En tout cas c’est beau, ce combat, même si on a l’impression que c’est un combat « pour l’honneur ».
« Ce ne serait d’ailleurs pas exactement rien, l’honneur d’une civilisation… »
Partagez-vous son avis ? Dites-moi ce que vous en pensez dans les commentaires.
Gabriel Combris
PS. Les débats sur le projet de loi commenceront le 12 mai pour deux semaines, avec une discussion générale commune, et deux votes solennels prévus le 29 mai.
PS2. Est-ce que vraiment notre civilisation risque l’effondrement, comme le prédit Houellebecq ? Y-a-t-il un plan derrière ? Un scientifique répond à cette question taboue. A consulter ici.
[1] https://bmjopen.bmj.com/content/1/1/e000039
[2] https://www.lefigaro.fr/vox/societe/michel-houellebecq-une-civilisation-qui-legalise-l-euthanasie-perd-tout-droit-au-respect-20210405
[3] https://www.parismatch.com/actu/sante/je-minquiete-de-lidee-quun-etat-decide-dorganiser-la-mort-programmee-216328
c.est la porte ouverte à l’assassinat légalisé des personnes fragiles. on peut avoir envie de partir dans un moment de grande détresse sans pour autant vouloir mourir. Honte à ceux qui veulent voter une telle loi.
Cet euphémisme du droit a mourir est d’une gigantesque hypocrisie…
Nul n’a le droit de s’arroger le droit de supprimer la vie. Beaucoup de phénomènes d’évolution intérieure se déroulent durant l’agonie.
Si la tête n’est plus là, le coeur lui est toujours présent bien vivant et déjà relié aux plans de Lumière.
J’espère qu’ un référendum sur un sujet pareil sera exigé.
Nous ne sommes pas des encombrants dont on se débarrasse.
L’éthique de la Conscience doit être respectée.
J’ai 70 ans et un projet long terme, battre le record du monde du 100 m à 95 ans ! Pas le temps de mourir avant ! Déjà un trauma crânien, un AVC et 2 x le covid, ça suffit !
J ai 85 ans et suis tout à fait d accord avec votre article
Mon fils de 22 ans, myopathe, m’a demandé avec ses clignements d’yeux : t u m o i. Cette demande d’euthanasie n’était que la dernière.
Sa principale souffrance étant la sensation d’étouffement malgré l’assistance respiratoire h24, lorsque nous avons demandé à l’équipe médicale de le trachéotomiser, sachant que cela se fait sous anesthésie générale, quelles que soient les conséquences, on nous a répondu qu’aucun anesthésiste n’accepterait de l’anesthésier, sachant qu’il ne se réveillerait pas. Pour ces autres douleurs, la morphine ne lui était pas autorisée car elle accélèrerait sa mort. Ses souffrances n’étaient pas dues à un manque d’amour et d’entourage, j’étais même autorisée à avoir un lit à côté de lui à l’hôpital. Je n’ai jamais accepté que ses souffrances soient le résultat d’un mauvais karma dû à de mauvaises actions dans une vie antérieure. Si c’était une punition, l’équivalent du purgatoire chrétien, pourquoi ne nous souvenons pas de ce qui est la cause de notre souffrance en cette incarnation?
En réalité, on ne s’incarne pas au hasard : on choisit son “berceau”, sa “famille d’accueil” mais a la naissance tous les souvenirs s’effacent… et c’est reparti pour un tour !
Dans certains cas on peut vivre des réminiscences, des “souvenirs” de vies antérieures dont les sensations de déjà vu sont un signe parmi d’autres…
Tout à fait d’accord avec votre mail !
Par contre, je profite de l’occasion pour vous dire que j’ai failli me désabonner récemment car je me sens “harcelée” par vos mails bien trop fréquents et beaucoup trop longs !
Merci de les raccourcir et d’en envoyer moins !
je rejoins votre opinion.peut être me trompa-je mais je crois que si l on décide de mourir -non pas désire- on quitte l existence facilement.
alors que si on désire mourir et que l on nous donne la mort,les minutes qui suivent doivent être difficiles.
Quand on a trop souffert que l’on n’attend plus rien et qu’on est trop fatigué pour essayer de survivre la seule liberté qu’il nous reste est de partir au ciel si on le méritemque d’ennuyer ceux qui restent et qu’en réalité ils n’en ont cure.
J’ai posté un commentaire n’allant pas dans votre sens. Je n’ai jamais pu le faire partir !! Chapeau !!
VOus pouvez poster tous les commentaires que vous souhaitez. N’hésitez pas à nous dire ce que vous pensez, nous ne censurons jmais les avis différents dès lorsqu’ils restent courtois. merci
Lors d’une grave dépression mélancolique dans les années 90, j’ai fait 2 tentatives de suicide (par défenestration), j’ai été hospitalisée plusieurs mois pour passer la phase aiguë, puis pour être stabilisée avant le retour à la maison avec suivi… Ce fut long et douloureux, mais je remercie du fond du cœur les équipes soignantes qui m’ont aidée pas après pas à remonter la pente !
Si tel n’avait pas été le cas, je n’aurais jamais eu l’immense bonheur de connaître mes petits-enfants… et croyez moi, je n’ai plus du tout envie de mourir et j’ose même affirmer aujourd’hui : la Vie est belle ; même avec une micro retraite…
Je suis opposé à cette aide à mourir, la plupart des malades n’en veulent pas et quasi tous quand ils sont pris en charge correctement par le personnel médical qui fait u n travail extraordinaire
Cela vient d’arriver en France mais je vous conseille fortement de rechercher le phénomène qui a lieu au Canada depuis quleques années déjà. C’est bien plus choquant encore que ce qui se passe en France. Avec MAID (medical assistance in dying) le Canada est à présent en première place pour les dons d’organes.
J’ai beaucoup apprécié vos propos réactionnaires
En ce qui me concerne je suis républicain et ne suis pas engagé ds une confession
A ce jour théoriquement il y a une séparation de l’église et de l’état
Nous avons le droit de choisir entre croire ou ne pas croire
Pourquoi n’aurions neuf pas le droit de choisir entre vivre et mourir…
Conclusion je renonce à votre site
Je ne suis pas croyant , les religions (toutes) me font peur , je les crois responsables des guerres, du fanatisme , de l’intolérance . Mais le propos n’est pas là . Et surtout pas d’interdire de mourir . C’est d’aider à vivre dont il s’agit . Les gens qui travaillent en services de soins palliatifs en témoignent dans leur grande majorité . Ressentir l’empathie , sentir le toucher délicat de soignants impliqués , traiter au plus juste la douleur physique, avoir un oeil attentif à la douleur parfois moins identifiable , de l’esprit ( pas la pensée ni l’esprit saint , l’esprit qui nous anime et nous fait nous ) favoriser ce qui est essentiel, l’humanité .
Et , voyez vous , j’ai surtout peur que sous couvert de beaux et merveilleux principes ” sacrè” (liberté) on débarrasse le plancher de patients qui coutent cher et qui nous emmerdent .
Je suis TOTALEMENT opposé à ce projet de loi. Les décisions personnelles ne peuvent être encadrées par une telle loi.
C’est une simple ignominie que l’AN puisse envisager de voter ce texte.
Merci !
Tout à fait de votre avis !
Cordialement,
La médecine allopathique est une médecine de symptômes, en fait les ” soins ” par destination ne constitue qu’une approche palliatif d’un bout à l’autre du suivi de la maladie. In fine cela n’aura été qu’une aide à mourir permanente, avec quand même un souci de rentabilité, destiné à retarder l’échéance le plus tard possible. Donc le problème de l’aide à mourir, où autre définition n’a pas lieu d’être, puisque qu’elle est implicite dans l’offre initiale. Encore une mascarade pour leurrer nos braves mougeons.
j oserai dire qu une aide à mourir doit être acceptée, réclamée volontairement par le patient, et non pas imposée, voire décidée par le corps médical même si les consignes d en haut le préconisent. sinon ça devient tout simplement de l euthanasie. Je sais que, quand il s agit de personnes de plus de 65 ou 70 ans…tout ça est du benef. car ces vieux coûtent un pognon de dingue en retraites..et.notre président n a pas d argent facile..sauf pour l’Ukraine l Algérie, la Chine, les migrants et j en passe etc…mais gagnons que pour ses acolytes, et membres du gouv. pas de problemes..ils sont où seront soignes dans de bonnes conditions et ne seront pas euthanasies..
Respectons le serment d’Hippocrate et ne le transformons pas en serment d’hypocrite !
j’ai 80 ans; je suis en “bonne” santé comme on dit mais j’ai une amie qui n’est pas dans ce cas et quand je l’appelle, je fais attention de ne pas employer des mots qu’elle “NE PEUT PLUS EMPLOYER”…’expressions ou mots qui sous entendent que l’on a deux mains, deux jambes etc que l’on peut bouger sans douleur. C ‘est un exercice de style auquel il faut penser AVANT de commencer à lui parler On ne parle pas de mouvement “je suis allée…..” mieux vaut éviter Le rythme de la conversation: un délicat mélange pour accélérer ouchanger si on s’aventure sur un descriptif QUI NE COLLE PAS AVEC CE QU’ELLE PEUT SAVOIR OU QU’ELLE A CONNU …………..Avec le temps de l’amitié, on y arrive mais quand ça ne “passe “pas on est tellement triste de n’avoir pu soulager les idées moroses et le désir de l’euthanasie……!!exercice où il m’arrive de “caler” mais on continue!!!
J’apprécie pleinement votre présentation de ce sujet fondamental.
Vous décrivez très bien les différents facteurs qui incitent quelqu’un a demandé l’aide à mourir et à quel point la prise en charge de ces facteurs peuvent modifier la demande.
Il serait judicieux aussi de développer le sujet des personnes qui s’octroient la puissance de donner la mort.
Que vivent-elles au fond d’elles? Quels sentiments camouflent-elles pour se donner le droit , avec un simple geste comme une injection, de faire basculer pareillement la vie d’êtres humains vivant une épreuve si importante.
Si cette loi doit s’appliquer tous les abus seront permis
Il faut beaucoup de courage pour s’ôter la vie mais il en faut également beaucoup pour vouloir rester en vie
je pense que les députés n’ont aucune légitimité pour juger le problème d’euthanasie. il appartient aux patients en premier, aux soignants en second. Et c’est difficile de passer sa vie à soigner, voire sauver des gens puis les tuer parce que la loi le permet alors que le patient n’a rien demandé . Qu’il exprime ses volontés par écrit , qu”on parle longuement et souvent avec le patient pour rentrer dans son monde ,et qu’on mette à sa disposition les moyens de partir ( la majorité ne le fera pas) . Plutot souffrir que mourir, telle est la devise des hommes écrivait Lafontaine. Il ne devrait même pas avoir de débat, ni de loi. C’est de l’ordre de l’intime, l’état ne doit pas y entrer.
Ne donnons pas le pouvoir au “menteur homicide”
Bravo pour tous ceux qui se battent pour la VIE
Très très grave problème, dans la mesure ou députés et sénateurs sont peut-être tous en bonne santé et non pas de parents en fin de vie.
Qui va aider un patient à mourir ? Un médecin, un infirmier ? quand sera-t-il du serment d’Hippocrate ?
Dans la majorité des anciens en fin de vie, l’espérance est : “encore un peut si possible”. C’est peut-être schématisé, mais réel !
Moi je suis pour le suicide assisté et je ne comprends pas pourquoi qu’en France tout est compliqué ( pas en Suisse ni en Belgique, ni au Canada ); C’est insupportable de devoir aller dans un de ces pays pour mourir !
Ceux qui ne sont pas pour comme les médecins c’est qu’ils n’ont jamais vraiment souffert , moi si, la morphine me soulageait , pas plus.
La douleur par moment rend fou. Il faut arrêter de dire qu’on sait maitriser la douleur, dans certains cas oui mais pas toujours;
Le compagnon de Marina Carrère d’Encausse à la maladie de Charcot et il a dit ” si un jour je ne peux plus me servir de mes mains, et qu’on doit me nourrir, alors je préfère quitter cette Terre.” et pourtant il était médecin.
Laissons les personnes choisir leur mort ! je suis très agacée car pour les avortements, il n’y a pas de problème rien de choquant quand on annonce qu’il a eu en 2023 : 230000 IVG et que l’on passe de 12 à 14 semaines ce qui veut dire que le médecin doit se munir d’une pince spéciale pour écraser le crâne du “bébé” qui a commencé à s’ossifier et donc ne passe plus par les voies naturelles !!!! une honte. Dans ce cas la vie n’a pas d’importance, c’est même Olivier Véran qui était “pour” pas Le président ! Où est la morale ?
Commençons par installer des équipes de soins palliatifs dans tous les départements. Voila la première demande à faire à nos élus et au pouvoir exécutif. Après laisser chacun choisir. Les réponses qui vous avez présentées sur les cercles sont éloquentes. Merci. JF Rougeron
C EST INJUSTE DE VOULOIR CONTRAINDRE UN ADULTE MAJEUR ET CAPABLE DE L EMPÊCHER DE MOURIR ET DE NE PAS LUI DONNER LES MOYENS. JE SUIS CONTRE CET ACHARNEMENT QUI CONSISTE A DIRE MAIS VOYONS VOUS ÊTES HEUREUX !!
LIBRE LUCIDE MAJEUR DETERMINE ON A LE DROIT D ÊTRE FATIGUE DE VIVRE DE VOULOIR EN FINIR SANS DOULEUR. CEUX QUI NOUS POUSSENT AU SUICIDE SONT DES EGOISTES SADIQUES JOUISSEURS DE NOS SOUFFRANCES ET CELA NE VOUS DÉRANGE PAS AU CONTRAIRE
AIMERIEZ VOUS QUE L ON VOUS TORCHE LE DERRIÈRE TOUS LES JOURS QUE L ON VOUS FASSE MANGER ETC….ALORS LA VERITE ??
CEUX QUI VEULENT VIVRE LAISSEZ LES VIVRE… MAIS N EMPÊCHEZ PAS DE MOURIR MÊME SI CELA VOUS DONNE MAUVAISE CONSCIENCE. NOUS SOMMES MAJEURS -NI ENFANTS NI DÉBILES. Paulette Guinchard A EU RECOURS AU SUICIDE ASSISTE ET BIEN D AUTRES EN ONT PROFITE ILS AVAIENT LES MOYENS DE LE FAIRE.
RÉSULTAT ON MEURE HORRIBLE EN CACHETTE QUAND ON NE SE LOUPE PAS AVEC UNE LENTE AGONIE. BIENFAIT DIREZ VOUS AVEC SATISFACTION… MAIS N OUBLIEZ PAS QUE VOTRE TOUR VIENDRA ET QUE VOUS RÉCLAMEREZ ALORS L EUTHANASIE QUE VOUS NOUS AVEZ REFUSEE CAR VOUS NE SUPPORTEREZ PAS TROP ORGUEILLEUX ET SATISFAIT DE VOUS MEMES DE VOUS RETROUVER DANS CET ETAT AU MILEU DE GENS COMME VOUS
250508 Directe Santé_Loi sur l’eutanasie – Commentaire Lm
Merci pour cet exposé, je suis d’instinct opposé à l’euthanasie qui j’en ai bien peur sera utilisée bien au-delà du vague cadre de la loi à venir, poussée en particulier par des intérêts économiques propres à l’état en faillite, aux familles etc.
Je vois les excès de l’ivg qui s’est rapidement transformée en méthode de contraception généralisée aux frais du contribuable !
Alors que le corps humain est très bien fait, capable d’atténuer la douleur si elle devient excessive, de concentrer les ressources sur les organes vitaux, etc.
J’ai confiance en la nature, confiance aux médecins en général, au moins à ceux qui respectent leur serment d’Hippocrate, bien que dans certains domaines je sais qu’ils sont sous l’influence des laboratoires et autres bidules contrôlés par l’état (cas du covid-19 !) ce qui me contraint à veiller à me faire ma propre opinion (je suis un non-vacciné !),
je n’ai aucune confiance en nos politiciens actuels
Nous avons accompagné ma mère, mon père, mon frère en étant auprès d’eux à la maison comme à l’hôpital, Ils nous ont quitté quand le corps a lâché;
cancer du pancréas du frère. Six mois de répits annoncé???? Décédé39 mois après. Très grand affaiblissement le dernier mois. Enfants et fratrie lui ont donné courage; il est parti en paix.
Mère accompagnée dans tous ses besoins pendant plusieurs années dont les trois dernières totalement alitée et impotente. Sans percevoir de signe particulier elle est morte dans la nuit paisiblement sans faire de bruit. Mon père était à un mètre.
Père 93 ans aveugle s’occupait toute la journée; ne pouvant plus s’occuper de vaches à 93 ans a demandé des clapiers
pour faire un élevage de lapins, pour nous ses enfants, en moyenne plus de 100 par an “je ne suis pas inutile” “Je n’ai besoin de personne , le chat m’accompagne . Hémorragie intestinale dans la nuit du dimanche. Le mardi soir ” Je n’en ais pas pour longtemps” Il est mort le samedi dans la nuit. J’étais auprès de papa courage et force. On les a accompagné jusqu’au bout; on est serein et contents de l’avoir fait.
Je suis Contre le suicide assisté contre l’abandon dans la solitude Pour un accompagnement par famille, par des aides qualifiés, aménagement de l’habitat. Nous, la société, leur devons ce service cet accompagnement pour ne pas perdre l’envie et le besoin de vivre
C’est au malade souffrant de décider seul et nul autre n’a le droit de lui imposer et surtout on a le droit de discuter avec le patient pour argumenter le pour et le contre et chercher en l’en dissuader ne doit pas être puni ni de prison ni d amende, car c’est le droit de la liberté d’expression qui dans ce cas est atteint. La conscience et la religion du patient doivent être respectées. Une loi publique pour une telle chose privée est une intrusion dans la sphère intime. C’est de souffrir qu’il faut soulager le malade et le risque de cette loi c’est de profiter de la libération de places de mouroirs dans les epad et les hôpitaux, ce serait une honte de profiter de la faiblesse des souffrants…
Le souffrant a droit au soutien de ses proches et il ne faudrait pas favoriser la mort du malade, du déprimé pour en profiter pour récupérer plus vite ses biens, maison, terre et compte en banque…Je vous dans cette loi mal faite des portes ouvertes à des abus ignobles de rapacité et d appât du gain, voire d économie sur le budget alloué aux soins palliatifs. C est donc grave et je vous approuve, hélas la loi votée, c’est un peu tard… Quel recours avons- nous?
C’est Dieu qui donne la vie, c’est Dieu qui la reprend !
Bonjour, j’ai refusé de signer la pétition qui était demandé, voilà mon Mari à eu un cancer de la thyroïde, dû à une ânerie du médecin traitant, il ne pouvait pas se coucher et il dormait assis sur le bord du lit, j’ai changé de médecin qui lui fait passer une radio des poumons et là on trouve qu’il a à la thyroïde un problème, il est opéré au centre Jean Perrin à Clermont Ferrand, le professeur trouve deux poches , une aussi grosse qu’un gros citron et l’autre plus grosse qu’un gros pamplemousse, et de cette poche s’est échappé une saloperie qui est allé ce mettre sur le médiastin, il a été très bien suivi et soigné au centre Léon Bérard de Lyon? Il avait des piqûures d’héparine tous les jours, un matin impossible de se lever, mal dans une cuisse, le médecin l’envoi à l’hôpital pour passer un scanner, ils ont mis 10 jours avant de le faire, puis on a pas voulu nous donner les résultats, ils l’ont gardés, puis ils ont décidés de le mettre sous morphine jusqu’à temps qu’il meure, évidemment c’était en juillet 2021, pas facile d’aller le voir en plus il dormait, j’ai demandé à parler au médecin , ce n’était pas possible, évidemment j’ai appris cela après,( pas suffisamment de place ici pour tout expliquer) en bref pas besoin d’autorisation, ils tuent les gens de leur plein gré
Nous avons entendu il n’y a pas si longtemps que nous étions des gaulois réfactaires, ce n’est pas une raison pour nous laisser
mourir comme les hommes de Cromagnons
.n effet, Gabriel, merci pr v/lettre qui met en lumière, ô combien, le caractère INTOLERABLE de l’euthanasie, preuve d’un total renoncemt à la “CIVILISATION” !
quand j’ai fait, à 43 ans, une reconversion comme Assistante sociale, j’ai entendu parler de l’ADMD, & j’étais plutôt en faveur de la “conservation de la “dignité” jusque ds la mort, ce positionnemt étant déjà très avancé & n’ayant fait que croître depuis !
Mais je réalise à ce jr combien il est INACCEPTABLE de légiférer sur l’euthanasie, combien n/dominants satanistes prônent continuellemt une “CULTURE DE MORT”, de la légalisation de l’IVG à l’euthanasie bientôt !!!
Merci pr v/lettre, … & que préconisez-vs de faire, par rapport à nos “représentants” -corrompus, couchés, attachés seulemt pr la majeure partie d’entre eux à leur siège de privilégiés- pr tenter de leur faire entendre la “VOIX DU PEUPLE” ??? … si tant est que le Peuple soit bien conscient à ce jr du RECUL CIVILISATIONNEL d’une telle mesure dont la PROPAGANDE EHONTEE des MEDIAS GRAND PUBLIC se fera le PORTE-PAROLE incontestablement ???
je partage l”avis de certains médecins qui disent que les soins palliatifs aident a trouver quelques fois des solutions moins radicales que le suicide assisté Je pense que la nature humaine garde l’espoir bien ancre au fond d’elle même et je pense que soulagé les douleurs qui sont intolérables parfois aide ces malades à mieux vivre et à garder l’envie de vivre
Les service palliatifs devraient bénéficier d’un personnel compétents et en nombre suffisant pour les accompagner .Ce serait une grande avancée du domaine medical
Martin Roselyne
Merci, Monsieur Combris, pour cet article remarquable !
Oui, notre société est en grand danger. Oui, les personnes fragilisées par la maladie ou par l’âge seront encore plus mal traitées voire supprimées.Cela se fait déjà dans d’autres pays, comme la Belgique.
Que reste-t-il de “l’honneur” et de notre civilisation ? Je ne suis pas sûre que nos députés y songent encore… Plusieurs associations invitent à leur écrire rapidement pour défendre la vie jusqu’à la fin, dans l’écoute et l’attention de ceux qui souffrent. Le ferons-nous ?
Essayons de résister, comme nous le pouvons.,. En informant sur la beauté et l’efficacité des soins palliatifs, sur la valeur de la vie humaine vécue jusqu’au bout, en entourant du mieux possible les plus fragiles d’entre nous, en espérant que quelqu’un saura nous respecter vraiment quand ce sera notre tour…
Encore merci de voter courage et j’espère que nous sommes nombreux à partager votre avis !
J’aurais aimé lire les autres commentaires… mais ne les ai pas vu apparaître sur cette page.
O.L.
Bonjour,
Je suis avec grand intérêt vos publications. Pour avoir vu par exemple ma voisine atteinte de la maladie de Charcot, ce que ça signifiait pour elle et pour ses proches, donc sans aucun espoir de guérison, je reste convaincue que la personne a le droit de choisir de partir. et que c’est humain de l’aider quand elle ne peut plus le faire elle-même…
Après il est évident que ceci doit être hyper encadré et controlé. Mais quand on voit l’enfer que vivent des proches, ce qui fait en plus sentir la personne malade coupable, pour moi l’humanité prévaut. Pas la morale, lanreligion ou ce qu’on pense quand on n’est pas concerné. compter sur les soins palliatifs, à l’heure où tout marche si mal et avec une population vieillissante, tous ces gens maltraités, ne me semble pas raisonnable. il y a clairement aussi parfois de l’acharnement thérapeutique et… du profit.
Bonne continuation
Les députés se prennent-ils pour DIEU ?
Quelle terrible suffisance alors…
Et quelle mauvaise conscience pour toujours ; à moins qu’ils ne demandent vite à mourir… eux !)
Je partage tout à fait cet avis, et d’autre part, moi je crois que la mort et l’autre bout de la vie ! Jean
Je fus soignant, infirmier, jusqu’a ma retraite. En formation, je ricannais des culs bénis s’opposant à l’euthanasie . Et ,surtout, je leur posais la question “de quel droit voulez vous empêcher ceux qui n’en peuvent plus de souffrir de choisir de mourir ?”
Je travaillais en libéral et la question s’est souvent posée .
J’ai beaucoup changé . Et votre article ainsi que les réflexions de Houellebecq ne font que renforcer cette remise en cause de ce qui s’avère n’avoir été qu’une certitude de salon . Oui, la douleur est un grand critère mais loin d’être le seul et elle est protéiforme . Je n’oublierai jamais le sourire d’un patient en stade terminal, envahi d’oedèmes debordant de ses yeux , alors que je lui demandais comment il allait et qu’il me répondait dans un souffle qu’il allait très bien car son petit fils allait venir le voir dans la journée . Il allait très bien ! Il était mourrant .
Je trouve ce texte remarquable
Il faudrait que les députés le lisent peut être que la leur permettra de ne pas voter une loi criminelle.
Merci encore et Bravo
si quelqu’un souffre trop et demande à mourir . Je le comprends et c’est à mon avis une question de dignité : mourir comme il le souhaite. Cela peut-être aussi une question de seuil de tolérance où au-delà ce n’est plus supportable .
Je connais quelqu’un atteint de la maladie de Charcot . qui est en pleine évolution . Vu tout ce qu’elle vit : fauteuil roulant, sa parole n’est plus compréhensible et l’expose à des jugement d’ autrui (elle est ivre ou droguée!) qu’elle a du mal à supporter. Elle vit seule Si elle tombe elle ne peut pas se relever. Elle n’a pas de moyens financiers pour avoir quelqu’un qui l’aide au quotidien(pour se relever quand elle tombe, expliquer au téléphone ses demandes ou besoins., A cela s’ajoutent évidemment des douleurs intolérables au dos etc… Elle s’est inscrite en Suisse auprés d’un organisme pour son euthanasie.
je trouve que le discours de ce médecin est très beau , il m’a profondément ému . Il m’a éclairé sur le comportement que pouvez avoir la majorité des personnes en fin de vie ,comportement que j’étais loin de m’imaginer . Maintenant je porterai un autre regard sur ces personnes . Pour terminer, je pense qu’il est important de rappeler régulièrement, à une partie de nos médecins, le serment d’Hippocrate qu’ils semblent avoir oublié .
Merci pour votre article dont je partage tout à fait le point de vue .
Il me semble en effet que, souvent, c’est nous l’entourage, les soignants, la société qui ne supportons pas le spectacle de la souffrance et notre impuissance.
Et comme la plupart du temps aujourd’hui, il faut faire disparaître le problème que nous ne maîtrisons pas.
D’ailleurs toutes les personnes de mon entourage qui sont favorable à l’euthanasie disent qu’elles ne veulent pas être un fardeau pour les autres …
Atteint d’un cancer généralisé découvert lors de vacances chez ma fille dans l’Est, il y avait été hospitalisé à Chaumont. Je travaillais dans un lycée agricole et j’ai dû repartir le laissant avec les visites de notre fille. Très vite j’ai dû revenir pour le faire rapatrier sur Bordeaux. Le soir de son arrivée au CHU il avait retrouvé son sourire car il faisait beau et il se sentait chez lui. Tous les soirs je faisais le trajet pour venir lui tenir compagnie après ma journée de travail et je passais le samedi et le dimanche avec lui. Il n’a jamais demandé une aide pour mourir, il l’a fait un dimanche en laissant tomber le cachet anti-douleur, l’infirmière lui en a donné un autre mais il avait ramassé celui qu’il avait laissé tomber et à dû mettre les deux dans la bouche. Il savait ce qu’il faisait, il a choisi tout seul et il est dcd quelques heures plus tard sans doute d’une crise cardiaque. Il ne m’avait jamais demandé mon avis pour quoi que ce soit et là non plus il ne l’a pas fait. Acte de courage, sans doute, parce qu’il n’a pas laissé à quelqu’un d’autre le poids de la décision. Je n’ai rien dit au CHU, inutile de poser des problèmes à l’infirmière qui aurait dû penser à récupérer le cachet tombé. Mais cela ne veut pas dire que j’approuve ce qu’il a fait, jamais je n’aurais fait ce choix pour lui et il le savait.
La secte des Francs Maçons est au travail dans leurs ateliers !!!!! c ‘ est la secte de la mort , quand pourrons nous nous débarrassé de ces monstres , je ne sais pas , mais en tout cas , ces sont des criminels !!!!!!
L
Bonjour Mr Combris
La societé est déboussolée et les gens ne se donnent plus la peine de réfléchir. Voilà des politiques qui veulent légiférer sur un sujet auquel ils ne comprennent rien. Comment leur faire comprendre que LA VIE, ce cadeau sacré reçu du Grand Créateur de vie, doit être préservée jusqu’à la dernière énergie ? Ils ne savent pas d’où elle vient, et comment la toute première cellule cardiaque formée dans le sein maternel s’est mis à battre, mais ils veulent quand même la détruire, soi-disant pour “rendre la vie agréable”…C’est tout simplement la folie. C’est l’ignorance, la paresse mentale, l’égoïsme, la vanité, l’orgueil issu d’un raisonnement fourvoyé qui les poussent à penser qu’ils peuvent décider du sort d’un malade soit disant “en fin de vie”!!! Ils ont perdu tout repère physique et spirituel. Ils sont tellement aveuglés par leur prétendus savoirs et pouvoirs qu’ils font aveuglement confiance à la médecine moderne qui, tout le monde le sait aujourd’hui grâce à des gens comme vous, qu’on peut guerir de toute maladie aujourd’hui, pour peu qu’on cherche à comprendre comment fonctionne la nature et qu’on compose avec elle, ce que Big Pharma avide de gain ne veut pas! S’il vous plaît, Mr Combris, continuez à informer le monde de la forfaiture qu’on veut imposer aux gens.
Après les avortements, l’Etat veut se débarrasser des personnes âgées, des handicapés, des malades mentaux… Au nom de quoi ? Dieu a dit “Tu ne tueras point”. Ce n’est pas pour abolir la souffrance c’est uniquement pour faire des économies !.Pourquoi ne veulent ils pas investir dans les soins palliatifs ??
Vous devriez arrêter de dire des aneries, personne n’obligera quiconque à mourir, il n’y a pas de complot et cette loi sera fortement encadrée. Personnellement en cas de maladie invalidante je souhaiterai mourir chacun est libre de ses choix, et moi c’est le mien c’est mon corps c’est mon choix. Arretez de faire peur aux gens avec ça en racontant n’importe quoi, cette loi existe en Suisse ausx pays bas en Belgique, Espagne, Portugal et personne ne peut ir qu’il y a eu des excès, au contraire bien des gens sont rassurés de savoir que lorsque la situation leur sera insupportable ils pourront avoir recours à cette loi. La France est l’un des pays ou il y a le plus de suicide de vieux qui n’en peuvent plus de souffrir et qui choisissent cette mort violente loin de leurs proches ; offrons leur la possibilite de mourir entourés des leurs dans la sérénité.
Vous savez très bien qu’en France très peu de gens ont accès aux soins palliatifs, qu’on les laisse souffrir et qu’on les traite comme des moins que rien dans les hopitaux
Et ne me parlez pas de ce serment d’Hippocrate qui est violé depuis longtemps par les médecins car lorsqu’on est vieux les médecins ne veulent plus nous soigner et nous font bien comprendre que l’on a qu’à crever.
Cordialement
Vous mélangez tout : un monsieur de 65 ans avec des douleurs {qui n’en a pas) et qui ne peut plus faire ses courses tout seul … et une personne grabataire , donc clouée sur un lit sans pouvoir faire quoi que ce soit . Dans le pays dont la devise commence par LIBERTE ,je ne veux rien imposer à personne, mais j’ai 85 ans et, le moment venu, j’aimerais pouvoir CHOISIR de MOURIR DANS LA DIGNITE ( pour moi et pour ma famille) ce qui n’a rien à voir avec le permis de tuer !!! …….
ayant vu le très bien fait reportage dans l’émission THEMA sur Arte, qui traitait du sujet, je ne peux qu’approuver les courageux médecins qui se souviennent de leur serment lors de lors prise de fonction
J’ai 89 ans et je dis à mes enfants : pas d’acharnement thérapeutique en cas de cancer , pas d’opération pas de chimiothérapie….. et si la souffrance est trop importante .., j’irai à l’étranger là où on vous aide a mourir dignement
Je suis croyante mon mari souffrait légèrement depuis la pose d’un défibrillateur,en 2016 . On m’a annoncé le samedi à la suite d’un scanner qu’il avait un cancer généralisée et qui ´il avait peu de temps à vivre . Il est décédé le jeudi suivant en voulant se lever. Je souhaite à beaucoup une mort comme ça ….même pour moi…
Bonjour très bien comme initiative. ces personnes qui souffrent.aucune chance de guérison délaissées . parfois famille enfants égoïstement veulent garder leur mère père enfants normal nous aimons nos proches . mais pensé à eux alités sans pouvoir bouger manger parler sans échange
attendre la fin de vie avec angoisse peur ils n’ont plus de vie eux envie de quitter ce onde c’est leur choix. .””’. .nous devons accepter le droit leur demande c’est égoïste de les garder ou par bonne conscience . la personne déterminé a quitter la vie en douceur en toute conscience en partant avec l’amour des siens
pas acceptable de forcer une personne souffrante en phase terminale condamné sans aucun espoir de guérir
même les animaux sont euthanasier pour abrégés leurs souffrances terribles
c’est leur choix . évidemment besoin de lois bient établies honnêtes pour ces personnes condamnées sans aucune issue que souffrance sur leur corps dans leur tête des gens avec maladies horribles bloqués dans leurs corps sans pouvoir communiquer se plaindre attendre la mort . cette fin de vie bien réfléchie assister d’un docteur professionnel examen a l’appui pour confirmer que rien ne changer leur vie horrible de les abandonner l’assurance. qu’il n’a plus a faire pour eux et évidemment refuser toutes demandes irréfléchies envie de mourir pour des raisons futiles ou des raisons pas acceptables. .. ……………………
les médecins professeurs professionnels de santé savent faire la différence entre un grand malade souffrant terriblement sans aucuns espoir de guérir ou un caprice de la vie .aidez les cela peut arriver a tout le monde le plus intelligent le plus fortune heureusement que la santé la vie la mort est égale pour tout le monde .